mercredi 15 octobre 2014

My Little Diane von Fürstenberg box

La Little Box d'octobre a un thème un peu particulier : en effet, elle n'a pas été conçue autour d'une saison, d'un événement, ou d'une idée, mais d'une personne ! C'est la créatrice Diane von Fürstenberg qui est à l'honneur ce mois-ci.


On retrouve sa patte surtout avec le cadeau du mois, un grand foulard coloré à l'imprimé... Bon, faisons un point sur les imprimés : je suis très difficile en la matière. Peu trouvent grâce à mes yeux, et celui-ci, je le trouve terriblement voyant. Je ne suis pas convaincue de jamais utiliser ce foulard, du coup. Je vais sans doute l'offrir : si l'une de mes amies se montre intéressée, elle le récupèrera !
Passons sur le fait qu'il est fabriqué en Chine dans une matière pas noble du tout : ce n'est pas le but de la Little Box, j'en suis bien consciente !
L'autre goodie est une petite broche bouche, que je n'aime pas trop non plus. Je suis quelqu'un de désespérément classique, en fait. Et puis je n'aime guère les trucs en plastique. Le plastique, c'est pas chic.


Niveau beauté, ma box était très make up ce mois-ci !
Tout d'abord, My Little Beauty nous a envoyé une eau micellaire (9€ les 150 ml). Celle-ci est censément pleine de vertus diverses. Au demeurant, la composition n'est pas trop mauvaise, avec notamment de l'aloe vera assez haut dans la liste. De plus,
on finit toujours par utiliser les eaux micellaires (même si avec cette philosophie, j'en ai récupéré des tonnes que je n'utilise pas, parce que je me démaquille à l'huile).

Ensuite, le crayon regard (yeux et sourcils) de l'Atelier Maquillage (17€), la marque de l'Atelier du Sourcil. Un côté jumbo rose pâle, pour éclairer, et un côté crayon cendré, pour les sourcils. La couleur est dite assez neutre pour convenir à tous : je suis prête à le croire, et j'essaierai le produit en question... mais peut-être seulement dans quelques temps, quand j'aurai fait de la place dans mon maquillage.

C'est pour le troisième produit que les box diffèrent : certaines contenaient des BB/CC crèmes Erborian, d'autres des crèmes pour les mains Institut Karité, et d'autres enfin des fards monos d'Yves Rocher, dans des couleurs neutres et mattes. Je fais partie de cette dernière catégorie : j'ai reçu le fard brun cendré (13,40€ hors promotion), qui pourrait être très utile pour définir le creux de la paupière. La marque offrait également, sur présentation d'un coupon en magasin, un pinceau estompeur : je l'ai récupéré ce weekend. La vendeuse m'a créé un compte fidélité d'office, donc j'imagine que l'opération n'est pas si altruiste que ça...

Dans l'ensemble, je reste un peu sur ma faim ce mois-ci. Je prends beaucoup de plaisir à recevoir ma box chaque mois et découvrir son contenu, mais je ne suis pas convaincue que tout me servira. Je ferais sans doute mieux de me désabonner et de m'offrir les vanities Oh my Cream, ça reviendrait au même en terme de coût finalement ! Mais bon, l'univers Little Box est si sympathique...

Et vous, que pensez-vous de cette
Diane von Fürstenberg box ?

mardi 14 octobre 2014

Produits finis de septembre

Déjà mi-octobre ! Il était temps que je me bouge l'arrière-train pour écrire ce billet... mon manque de motivation reste cependant explicable : j'ai choppé la grippe (et la grippe, eh bien, c'est nul, d'abord) (j'ai réussi à atteindre mon quota maximal de virgule en deux parenthèses, n'était-ce pas brillant ?), et puis peu des produits finis ce dernier mois étaient des nouveautés. C'est moins rigolo à chroniquer si vous les avez déjà vus passer, mais bon, c'est le jeu...


Je ne vais pas vous reparler des crèmes pour le visage : je vous ennuie tout le temps avec mon indispensable Effaclar Duo + ; j'ai déjà dit combien le sérum Hydrabio de Bioderma était fantastique ; le duo Vitamin C + E de  Skin Lab a eu son heure de gloire dans un autre billet de cette série ; j'ai toujours de l'eau thermale Jonzac ou du baume Amilab en réserve. Ne revenons pas dessus.


En revanche, pour le corps et les cheveux, trois produits inédits !

Tout d'abord, le gel douche micro-gommant Lotus & Jasmin de chez Sen. Ce gel douche mérite une confession. En effet, je ne l'ai pas acquis de façon régulière : je l'ai volé dans le placard de ma mère durant une visite chez mes parents. (Tin tin tin !) Il lui avait été offert par une bonne amie (pour moi, une amie qui offre des gels douches comme celui-ci est une bonne amie) (c'était l'instant vénal de la journée), mais ma maman se lavant au savon, il est resté rangé, tristement, jusqu'à ce que je le découvre et l'embarque (après avoir vérifié que je pouvais, hein, raccrochez ce téléphone, inutile d'alerter les autorités). La bonne amie de ma maman aura donc fait une heureuse, puisque j'ai pris grand plaisir à utiliser ce produit : il était vraiment exfoliant, donc très pratique à utiliser deux ou trois par semaine en cas de flemme (sortir mon gros pot Sabon nécessite quasiment une organisation pré-douche), sentait très bon le jasmin, moussait suffisamment, et avait un packaging à la fois joli dans la douche et pratique dessous. Impeccable. Je ne le rachèterai pas, parce qu'il m'a duré un an et qu'un an c'est suffisant, mais je garde l'idée du gel douche exfoliant, c'est tellement pratique ! Et comme j'ai justement reçu celui de Laino dans une Little Box, c'est lui qui va rejoindre mon rebord de douche.

Il semble malheureusement que Marionnaud, le revendeur de la marque Sen, ait cessé de distribuer celle-ci... ce produit n'est donc plus disponible ; comme la déveine est toujours accompagnée, c'est aussi le cas du deuxième, le shampoing Sprout out. La gamme est arrêtée ; je l'avais découverte en Angleterre, dans un hôtel qui fournissait uniquement des cosmétiques "naturels" à ses pensionnaires. Mon fiancé a beaucoup aimé ces shampoings, et avait raflé les formats d'essai disponibles dans la chambre afin de les utiliser pour la piscine... comme il n'en restait plus assez pour qu'il l'emporte (et risque de se retrouver à court de shampoing en plein milieu de son "déchlorage"), je l'ai terminé sur mes pinceaux. Et, hum, il lavait très bien les pinceaux. Voilà. J'ai un peu honte...

Et le pire, c'est que c'est aussi le sort connu par l'après-shampoing à la verveine de L'Occitane. Je l'ai aussi récupéré dans un hôtel, et il a aussi fini sur mes pinceaux. Mais lui, c'est parce que je l'ai trouvé vraiment pas efficace sur mes cheveux : il les rendait lourds et moches, presque sales. Pas glop, malgré une odeur terriblement addictive de verveine. Mes pinceaux en poils naturels ont adoré, par contre.


Passons aux nettoyants pour le visage : trois ont été achevés en septembre !

C'est la deuxième fois de suite que le gel moussant et purifiant Effaclar apparaît ici, il me semble inutile d'en reparler. Je ne l'achèterai jamais en 200 ml, mais tant que La Roche-Posay m'en offrira régulièrement un petit avec mon Effaclar duo, je l'utiliserai.

La mousse hydro-démaquillante de Clinique était elle aussi un format de voyage offert ; je l'aimais bien. Elle produisait une mousse compacte, qui sentait bon le propre et laissait le visage tout propre. Elle était assez décapante, en revanche, avec un effet "peau crissante" pas forcément agréable... Je ne l'achèterai pas !

Le petit échantillon de gel nettoyant Mayblossom de Ren ne m'a pas laissé une impression impérissable : la formule était très liquide, pas très pratique à utiliser, mais nettoyait bien sans irriter. Je n'ai pas été suffisamment convaincue pour l'acheter, mais ça reste un bon produit, fabriqué par une marque dont j'apprécie les valeurs.


Cette photo est affreuse, désolée. C'est uniquement pour vous parler des papiers matifiants Shiseido, dont vous pouvez voir ici l'étui en plastique mou. Je les avais reçu grâce au site participatif de la marque, le Club Omotenashi. Les 100 m'auront duré une bonne année. C'était mes premiers papiers matifiants, donc il me semble un peu difficile de donner dessus un avis éclairé, mais ils faisaient bien leur travail ! J'aimais bien la petite pochette bleue, le système permettait de sortir les feuilles facilement, et une seule suffisait pour l'ensemble du visage.
J'ai ramené des équivalents du Japon, je vais donc les remplacer par ceux de Muji.

Voilà pour ce mois-ci ! Je reviens aussi vite que possible avec la dernière Little Box...

mercredi 1 octobre 2014

Favoris de septembre : la magie égyptienne prévoit des chutes de Météorites

Mon dernier billet favoris remonte à plusieurs mois – pourtant, comme toujours, certains produits attirent plus souvent ma main que les autres ! C’est assez amusant, d’ailleurs, ce côté cyclique de nos goûts : je suis capable d’oublier complètement que telle ou telle chose existe durant des semaines, et puis l’utiliser tous les jours pendant tout aussi longtemps ensuite…


Dans le genre, les Météorites de Guerlain se posent là, je dois dire. J’en ai rêvé durant des mois, à l’époque de la version précédente, mais je n’osais pas mettre autant d’argent dans un objet aussi futile. Ma merveilleuse petite sœur a soufflé la chose, à Noël dernier, à nos parents – malheureusement, c’était au moment de la reformulation, et dans la boutique Guerlain de Madeleine ne restaient plus que des Météorites dorées, les plus foncées. Mon père n’y connaissant rien, et la vendeuse lui affirmant que malgré ma peau pâle, elles iraient très bien (« ça lui donnera bonne mine », lui a-t-elle dit, ce qui donne à croire qu’il me décrit comme une espèce de fantôme gothique aux inconnus), il les a achetées tout de même. Il n’avait pas gardé le ticket : elles sont parties rejoindre une lointaine cousine à la carnation mate, laquelle a dû se demander d’où venait une si soudaine générosité.
Comme mon père est bien gentil, il m’a dit de m’acheter moi-même mes précieuses poussières d’étoiles une fois celles-ci disponibles en teinte lunaire (il est poète) (je mens, il ne parle pas comme ça, c’est assez décevant), et qu’il me rembourserait.
Une fois obtenues, elles m’ont ravie : les Météorites, c’est vraiment le petit rien qui fait tout. Je les ai utilisées chaque matin pendant un bon moment, et puis… la flemme d’ajouter une étape supplémentaire à ma routine ? de prendre le temps d’ouvrir précautionneusement la boîte ? j’ai arrêté. Depuis une quinzaine, j’ai recommencé, et j’ai l’impression d’avoir un teint plus doux, plus frais, plus « en santé ». Elles redonnent de la vie à un visage poudré, de l’éclat à une complexion fatiguée. Et puis, rien que pour le luxe du geste… (oui, dirait la moi économe : « et puis, rien que pour les rentabiliser… »)


Le deuxième pot est tout de suite moins glamour. Vous reconnaissez certainement l’illustre crème égyptienne censée résoudre tous nos maux humains en quelques minutes. J’ai reçu cette énorme jarre dans l’unique vanity Oh my cream pour lequel j’avais craqué, celui de l’hiver dernier : déjà, je peux témoigner, et cela est heureux, que le produit, bien qu’essentiellement naturel, ne se périme pas. Cela est heureux car je suis loin d’avoir visiblement entamé mes 118 ml, malgré une utilisation tout à fait régulière ! Un bouton ? Hop, un soupçon de magie égyptienne par-dessus la crème de nuit. Une brûlure ? Une irritation ? Une zone désespérément sèche ? Tout y passe, et tous les problèmes trépassent. Quand mon fiancé se coupait en se rasant (il a résolu le problème, comme quasi tous les vingtenaires et trentenaires de France, en se laissant pousser la barbe), il se mettait un peu d’Egyptian Magic sur son estafilade. Je me suis moi-même coupée l’autre jour (pas en me rasant la barbe, parce que je n’en ai pas, sinon nul doute que, comme les autres vingtenaires et trentenaires de France, moi aussi je ressemblerais à un wannabe pirate), et maintenant que la plaie est guérie, je vais appliquer un peu de cet onguent après ma douche, priant les dieux égyptiens pour ne pas garder de cicatrice toute moche en plein milieu du dos.
Bref, l’Egyptian Magic, c’est complètement kitsch, mais c’est fabuleux.


Les trois autres favoris du moment sont aussi des découvertes récentes : à voir si le goût que j’ai pour eux tiendra dans le temps !

J’utilise le Pore Refining Solutions de Clinique en tant que base de teint. Ce qu’est ce produit au juste n’est pas terriblement clair ; je l’ai acheté, avant mon voyage en Asie, sur les conseils d’Hélène de Mon Blog de Fille qui jurait que c’était le truc le plus matifiant du monde. Cette caractéristique me semblait intéressante pour qui part un mois dans des lieux chauds, humides et généralement peu compatibles avec un teint mat et frais.
Eh bien ça marche. Voilà. Je le mets après la BB crème ou le fond de teint, avant la poudre, et le tout tient beaucoup plus longtemps. Sans l’utiliser tous les jours, quand je sais que j’enchaîne une sortie sur le boulot, je prends toujours le temps d’en ajouter une petite dose sur la zone T. En fin de journée, mon sébum, habituellement si expansif, ose à peine se montrer. C’est très pratique.


Début septembre, j’ai fait une commande sur le site de Nars. Je voulais m’acheter leur poudre compacte (que j’aime beaucoup) et leur fameux Anticerne éclat. C’est de celui-ci dont je viens parler aujourd’hui. J’ai la chance de ne pas être naturellement très cernée ; chez moi la fatigue se loge ailleurs, autour de la bouche ou au creux des joues. C’est seulement quand je suis vraiment épuisée que j’ai une sale tronche générale et donc des cernes – mais ces jours-là, ça fait peine à voir. Cet anticerne s’est vu vanter partout sur Internet, et j’ai fini par me dire qu’il pourrait me sauver de ces journées où mon reflet semble me dire d’aller au lit, et plus vite que ça, même s’il n’est que onze heures du matin. J’ai eu un peu de mal à déterminer ma teinte, ai fini par opter pour Vanilla, et vogue galère : ce truc est génial. Un tout petit peu suffit à me donner l’air moins raplapla, et même pour les moments où vraiment, vraiment, je manque de sommeil, ça aide sans se voir. Une merveille.


Ce qui m’a décidée à commander directement auprès de Nars, plutôt que chez Sephora, c’était qu’à ce moment-là, la marque offrait un mini blush Deep Throat pour toute commande dépassant un certain montant. Les blushes Nars me font envie depuis longtemps, mais justifier un tel prix pour un blush, alors que j’en ai déjà suffisamment pour rougir jusqu’à la fin de mes jours, me semble délicat. L’occasion d’en avoir un gratuit était trop belle.
La teinte est connue pour convenir à ceux que les paillettes d’Orgasm effraient, et c’est vrai que l’effet est joliment vivant, sans être ni mat ni irisé. Si j’avais acheté un blush de la marque, j’aurais sans doute opté pour celui-ci : le recevoir en cadeau m’a ravie. J’aime beaucoup. Et puis la formule est tellement pigmentée que mon « mini » va me durer toute la vie : je ne suis que joie.

 
Voilà pour les favoris de septembre : ce billet était fort long ! A vous, du coup : qu’avez-vous le plus utilisé ces temps-ci ?

jeudi 25 septembre 2014

Majolica Majorca, de bien jolis fards à paupière

Durant mon voyage en Asie, j'ai été plutôt raisonnable en terme d'emplettes maquillage. J'avais fait une petite liste, à laquelle je me suis globalement tenue, et je n'ai pas fait d'achat inconsidéré.


Dans cette liste d'envies étaient inclus les fards Majolica Majorca. J'avais tellement entendu parler de la texture incroyable de ces fards à paupière japonais que la barre était haute ; dès les premiers swatches, j'ai été convaincue. C'est très compact, très doux, ça ne fait pas de chute et ça s'estompe très facilement... vraiment une matière agréable à utiliser.


J'ai choisi deux monos dans des couleurs dont j'estimais avoir besoin (lire envie, parce qu'on n'a jamais besoin de fard à paupière) : un blanc, le WT920, pour le coin interne ou pour unifier la paupière les jours d'eyeliner ; et un orangé, le BE286, parce que je rêvais du fard orangé parfait.


Je les beaucoup utilisés ces dernières semaines. Ils sont tous les deux parfaits en aplat, pour illuminer rapidement les yeux. Très faciles à poser, surtout au doigt, ils s'estompent sans difficulté et tiennent extrêmement bien. La qualité est excellente.


Le packaging est bien conçu, dans un plastique épais qui donne une impression de solidité. On fait coulisser la partie supérieure (j'ai mis trente bonnes secondes à comprendre comment ouvrir le boîtier la première fois, haha), ça supprime le risque de briser les vis d'un couvercle rabattant, je trouve ça très malin. Le design me plaît aussi, avec son petit bouton doré... Le tout est compact, joli et pratique.
 
Chaque fard coûtait 500 yens, soit moins de 4€ : pour une telle qualité, tant de produit que de finition, je trouve ça tout à fait impressionnant ! Avec mes derniers yens, j'ai craqué à l'aéroport pour un quatuor de la marque, que je n'ai pas encore ouvert... je vous en reparlerai bientôt.

Avez-vous déjà essayé les produits Majolica Majorca ? Si vous avez d'autres fards japonais à me conseiller, je suis tout ouïe !

mardi 23 septembre 2014

La poudre Stay Matte de Rimmel

Ma peau est a beau être à tendance sèche, elle reste mixte, et mon nez brille en milieu de journée. Si j’ai toujours des papiers matifiants dans mon sac, cela ne m’empêche pas de chercher à ralentir l’apparition de la brillance maudite en utilisant une poudre un peu costaude le matin. 

Depuis plusieurs mois, j’utilise la fameuse Stay Matte de Rimmel, à la fois très reconnue et très bon marché (dans les 5€ pour 14g, on fait difficilement mieux) - donc à essayer absolument, me suis-je dit en l'achetant (justification, tout ça).

J’ai choisi la teinte Pink Blossom, un peu rosée, parce que j’ai toujours l’impression qu’ajouter du rose sur mon visage équilibre les tons : de ce point de vue, le coloris choisi est parfait. Mais il y en a pour tous les goûts et toutes les peaux : 5 autres teintes sont disponibles, dont une transparente.

La composition est tellement bourrée de trucs cradocs que je ne vais même pas la détailler. On est chez Rimmel, la poudre coûte moins cher qu'un repas au fast food : il ne faut pas s'attendre à des miracles. Elle ne m'a jamais filé de bouton, en tout cas.

La poudre a exactement la couleur de mon poignet, donc on ne voit rien, mais je vous assure que je l'ai grossièrement étalée au doigt...
La poudre est très fine, légèrement poudreuse quand on la prélève. J’utilise le Blush Brush de Real Techniques pour l’appliquer : le résultat est presque invisible, mat mais pas poudré, et tient plutôt bien dans la durée. Je préfère continuer à me tamponner le nez à un moment ou à un autre quand il fait chaud, mais ça ne me paraît plus une nécessité.

Le vrai point noir de ce produit, c'est son packaging. Il est si peu résistant que c'en est risible. Je ne parle même pas de l'absence de poudrier avec miroir, mais juste du fait que le plastique du couvercle est tellement fragile qu'en le faisant tomber, on en perd un bout. Et le couvercle s'efface au fur et à mesure des mois.
Dans l'ensemble, malgré tout, c'est une poudre que je recommanderais : peu chère, peu encombrante, fine, réellement matifiante... elle répond au cahier des charges. Je ne la rachèterai pas immédiatement (j'ai craqué pour celle de Nars récemment : c'est un autre budget !), mais je n'exclue pas de le faire un jour !

Et vous, avez-vous déjà essayé la Stay Matte ? Quelle est votre poudre compacte préférée, au fait ?

dimanche 21 septembre 2014

Un masque en direct n°4 : Bamboo Mask d'Innisfree

Quatrième masque en direct - le dernier date de mai, ça vous donne une indication du temps que j'ai eu pour moi ces derniers mois !
Je reste sur Innisfree pour le moment : en effet, après avoir fait le tour des compositions des autres masques en feuille, notamment durant mon séjour en Asie, j'ai constaté que, dans cette gamme de prix, les It's Real avaient la meilleure composition. Du coup, j'en ai fait une petite réserve ! Vous pouvez voir ici à la fois l'ancien et le nouveau packaging du masque du jour, du coup.

Si je me suis décidée pour celui au bambou, c'est qu'il est dédié à la fois à l'hydratation et à l'éclat de la peau, et je me trouve plutôt sale mine après ces trois semaines de rentrée sur les chapeaux de roue.

A gauche l'ancien packaging, à droite le nouveau.
Je ne vais pas revenir sur la facilité d'utilisation, on en est à la quatrième fois, ça va vous ennuyer... En revanche, je viens de m'apercevoir, grâce à la version singapourienne du masque (donc traduite en anglais), que la date de fabrication est indiquée en bas, et qu'on a vingt-quatre mois pour utiliser le masquer à compter de ce jour. Je trouve ça très pratique, et le temps est assez long pour qu'on ne risque pas de perdre notre achat !

L'odeur est très discrète. Je ne sens vraiment pas grand-chose, peut-être vaguement du vert, mais c'est vraiment très léger (ou alors mon nez est vraiment très bouché). La lotion est gélifiée, tout à fait transparente, un poil collante : le masque adhère parfaitement.
C'est une première avec cette gamme : ça ne picote presque pas, sauf aux alentours du nez, là où ma peau est toujours un peu déshydratée.


La minute composition : deux PEG, de l'EDTA et du Phenoxyethanol sont les points noirs d'une composition par ailleurs excellente ne récoltant que des sourires sur la Vérité sur les cosmétiques. Cette fois-ci la composition diffère des autres masques de la gamme, tout en gardant pas mal d'actifs en commun.

Verdict : je me trouve vraiment le teint plus éclatant ! J'ai ôté le masque après vingt minutes, et à ce moment-là ça commençait à picoter partout ; après avoir massé l'excédent de lotion, j'ai pu constater que j'avais bien meilleure mine. Parfait pour aller passer un dimanche chez ma mère sans me voir asséner que je ne dors pas assez. Je suis contente d'en avoir un deuxième en réserve.

samedi 13 septembre 2014

La BB crème de Ren

La première fois que j'ai entendu parler de la BB crème Ren, c'était en voyant la jolie Victoria de Mango & Salt l'utiliser dans cette vidéo. Elle disait que, malgré sa couleur, la formule s'adaptait bien, et son enthousiasme était tel que j'ai eu envie de lui faire confiance. J'ai commandé sur Bazar Bio un pochon d'échantillons dans lequel le produit se trouvait, afin de l'essayer. En effet, après deux ou trois expériences pas tout à fait convaincantes avec des fonds de teint, j'ai compris que pour éviter tant les dépenses inutiles que les achats dont on ne sait plus quoi faire après trois utilisations, l'essai sur plusieurs jours était franchement nécessaire.
Le petit tube de 3 ml m'a permis de voir que j'étais d'accord avec Victoria (et avec tout le monde, je crois – je n'ai pas l'impression qu'il y ait de mécontent !). C'est un bon produit, qui a beaucoup de qualités.



Tout d'abord, point composition : Ren a pour volonté affichée d'être une marque propre, et l'est effectivement. Cette BB crème ne contient pas – outre de nombreux trucs cradocs qui de toute façon n'auraient rien à faire dans un produit teint (Ren se vante de n'y avoir pas mis de sulfate, mais bon, un fond de teint n'est pas trop censé mousser sur la figure) – de silicone, ce qui peut être déterminant pour certains. On y trouve cependant de l'alcool en assez grande quantité, du carbomer, et du parfum en fin de liste. Pour autant, le gros de la composition est très bon : des extraits naturels en quantité, de l'oxide de zinc en troisième position (à la fois écran solaire et assainissant), de l'acide lactique (qui exfolie légèrement)... le genre de produit teint qui peut réellement améliorer l'état de la peau : en ce sens, c'est une vraie BB crème, puisqu'elle peut servir de soin dans une certaine mesure et fournit un SPF (léger, certes, mais mieux que rien et suffisant quand on travaille en intérieur). Je n'ai pas l'impression que ma peau se porte mieux en la mettant, mais je l'avais emmené en Asie, n'ai porté qu'elle pendant un mois, et n'ai pas eu de boutons : c'est plutôt un bon témoignage de son côté non-comédogène.

Au premier essai, la teinte m'a vraiment effrayée : elle est franchement orange ! Mais elle s'adapte très bien ; si je ne la conseillerais pas à une personne à la peau vraiment pâle, ou vraiment foncée, elle me va en été et ira toute l'année aux peaux un peu mates. Sur le swatch ci-dessous, fait sur la peau très claire de l'intérieur de mon bras, on voit bien que ça ne se fond pas tout à fait... mais avec un tout petit peu plus de couleur, ça passe comme une lettre à la poste. La dénomination "light/medium" n'est donc pas mensongère ; on peut regretter en revanche que ce soit là la seule teint disponible.
D'avance, je sais que dans les jours ou semaines qui viennent je la mélangerai de plus en plus à des fonds de teint plus clairs, pour arriver à la couleur exacte de ma peau ; si cela ne me dérange pas, je peux comprendre que d'autres aient la flemme de le faire.


L'effet satiné annoncé sur le tube est bel est bien présent : si l'on veut éviter de briller, il vaut mieux poudrer ! La BB crème tient toute la journée, et son SPF 15 peut suffire quand on se contente de traverser la rue en ville...
La contenance de 50 ml est plus généreuse que celle de la plupart des produits pour le teint ; pour 30€, le rapport qualité/quantité/prix me semble vraiment bon.
Je suis un peu intriguée en revanche par le packaging : il a apparemment été changé, passant du flacon-pompe de Victoria à mon tube. Pourquoi ? Mystère... si un flacon-pompe est plus pratique à conserver chez soi, le tube est plus facile à transporter, ce qui m'arrange bien !

Et vous, avez-vous essayé la BB crème de Ren ? Quelle est votre BB crème préférée ?